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Au revoir Là-Haut : La 1ère Guerre Mondiale version agréable - 8/10

Dernière mise à jour : 13 mai 2018


Un long dimanche de fiançailles, le convoyeur, 9 mois ferme, Deux jours à tuerAlbert Dupontel nous régale avec tous ses rôles, et aujourd’hui, il revient comme réalisateur et acteur dans « Au revoir Là-haut ». Un film magique et si réel à la fois, qui fait tomber des masques sur la dure réalité de la première guerre mondiale !


Synopsis

En 1920, le soldat Maillard est au commissariat de police au Maroc pour raconter son aventure après être allé au front en 1916. Il contera ses déboires dans un Paris d’après-guerre et ses manigances pour s’en sortir. Une comédie dramatique française qui fait du bien, et remonte le moral après une dure journée !


Ce qu’on a aimé


La technique de tournage : 8/10

Tout d’abord, la façon dont est tourné le film. On se régale de voir des travellings, des zooms avant, des focus sur des mains, des visages… Un petit bijou technique, qui nous en met plein la vue !


Les décors : 8/10

Ensuite, on adore les décors et les costumes. Sans spoiler le film, on découvre un Paris pauvre qui se reconstruit petit à petit. À ceci s’ajoutent les belles robes à frange des années 20, les costumes colorés et les jolis chapeaux. Ça donne presque envie d’avoir vécu dans cette époque si classe et distinguée


La musique : 9/10

Enfin Albert Dupontel a su mélanger plusieurs styles musicaux. On retrouve des airs de chants militaires, fusionnés avec une musique plus douce dans le style de Yann Tiersen. Le tout accompagné évidement de musique typique des années 20, dites « les années folles »… Ce film répond très bien au surnom de l’époque !


Ce qu’on a moins aimé


5/10 L’accent sur les costumes

Dans ce film, on voit réellement le travail d’orfèvre réalisé sur les costumes. On regrette qu’il ne soit pas plus mis en avant dans le film, ce qui est fait dans le roman.


En bref


Voici ici un film où l'on ressort de la salle de cinéma léger. On déguste cette adaptation comme une bonne bière fraîche à une terrasse ensoleillée ! On ne vous a pas encore convaincu ? Peut-être que savoir que pour accompagner Albert Dupontel (déjà un très bon atout au film !), nous verrons Laurent Laffitte, Mélanie Thierry, Kyan Khojandi ou encore Nahuel Pérez Biscayart (Shaun dans 120 battements par minutes). N’hésitez plus !



Un article de la plume de Gaëlle Brandy

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