top of page

Thirteen : L’émouvante mini-série de la BBC - 7/10

Dernière mise à jour : 13 mai 2018

Sherlock, Doctor Who, Peaky Blinders, les séries de la BBC ne cessent de nous épater. C'est pourquoi chez My Pop Culture, on a décidé de se pencher vers l’une d’entre elle, récemment diffusée en France. J’ai nommé : Thirteen.


Synopsis

Après 13 ans de captivité, Ivy Moxam, jeune femme de 26 ans, parvient à s’échapper de chez son ravisseur. Elle retrouve alors sa famille et doit aider la police à retrouver son kidnappeur ...


On a aimé :


La performance de Jodie Comer : 9/10

L’actrice qui joue le rôle d’Ivy nous livre une performance incroyable dans la série. Tantôt troublante, tantôt bouleversante, elle réussit à nous transmettre toutes les émotions que son personnage peut ressentir. Et c’est en partie grâce à ça qu’on arrive à se plonger autant dans la série !


Le charme à anglaise : 7/10

Plongé dans la ville de Bristol, on retrouve les maisons typiques anglaises, les quartiers où tout le monde se connaît, et c’est ce qui apporte tout son charme et son réalisme à la série.


On a moins aimé


Manque de crédibilité : 6/10

Autant le personnage d’Ivy est très bien interprété et le syndrome de Stockholm* est représenté à merveille, autant on a plus de mal avec les autres personnages. En effet, les réactions des policiers et des proches d’Ivy sont soit trop exagérées, soit pas très réalistes.


Un récit survolé : 5/10

La série nous montre à la fois l’enquête policière sur l’affaire d’Ivy et la réinsertion de la jeune fille dans la société. Mais sans vraiment rentrer dans les détails ... Aucun des deux sujets n’est vraiment approfondi. Alors même si l’histoire réussit à nous tenir en haleine, à la fin, on a quand même l’impression d’avoir seulement survolé l’histoire. On aimerait bien en savoir plus sur certains points ...


Pour aller plus loin

Ce n’est pas la première série de la BBC traitant du sujet de la disparition d’enfants. The Missing, série sortie en 2014, retrace à travers ses 2 saisons les disparitions du petit Oliver et de la jeune Alice.


* Le syndrome de Stockholm se traduit par l'affection paradoxale qu'un otage peut ressentir pour son ravisseur.


Un article signé Chloé DEPREZ

5 vues0 commentaire

Comments


bottom of page